Pour que les hommes conservent leur capital jeunesse, la Thalasso de Dinard leur a concocté un programme sur-mesure très complet. Pour attirer cette clientèle masculine, il faut bien connaître tous ses problèmes pour ensuite lui proposer les meilleurs soins adéquats. Une prise en charge du capital jeunesse s’impose chez l’homme dès l’âge de 35 ans. Il n’est pas raisonnable d’attendre que les premiers signes disgracieux ou inquiétants se manifestent pour prendre des décisions adaptées. L’arrondissement de la silhouette, la diminution de la résistance à l’effort, la baisse de la capacité de travail et de la récupération, l’envahissement du stress sont autant de facteurs qui peuvent conduire à une dégradation de la santé physique (infarctus, accident vasculaire cérébral…) ou mentale (crise existentielle, déprime…). LES PROBABILITÉS DE RISQUES CHEZ LES HOMMES Le mal de dos, les douleurs articulaires Toutes les douleurs dorsales ou articulaires peuvent être largement aggravées par le surpoids pour deux raisons essentielles : l’excès de pression sur les structures et l’apparition de mécanismes inflammatoires. Ainsi, le surpoids au niveau du ventre devient un des facteurs principaux de douleurs lombaires puisqu’il modifie le centre de gravité de l’homme et fait exercer des forces exagérées localisées sur cette région, sur les disques et les vertèbres. Les mauvaises positions de travail, les mauvaises postures, les positions assises prolongées entretiennent et majorent les phénomènes. Les maladies cardiovasculaires Elles regroupent l’ensemble des maladies du cœur et des vaisseaux sanguins ; elles concernent le muscle cardiaque, les artères, les valves, les vaisseaux cérébraux et les vaisseaux des membres inférieurs et de l’aorte. Les maladies cardiovasculaires ont longtemps représenté la première cause de mortalité en France ; actuellement devancées par les cancers, elles n’en demeurent pas moins une priorité de santé publique. Les dernières statistiques donnent les chiffres suivants : par an, 120 000 Français sont touchés par l’infarctus du myocarde, 130 000 par les accidents vasculaires cérébraux (AVC), 14 000 décès enregistrés sont directement liés à l’augmentation des comportements à risque tels que le tabagisme et l’obésité. Le syndrome métabolique ou « syndrome du gros ventre » Cette affection touche un homme sur deux. Elle est la conséquence directe d’une mauvaise hygiène de vie : alimentation et sédentarité. Elle expose à une très forte probabilité de développer une maladie comme un diabète ou des problèmes cardiovasculaires. Ce syndrome repose sur cinq paramètres : – taux de glycémie élevé, – excès de triglycérides, – niveau de bon cholestérol trop bas, – tension artérielle élevée, – obésité abdominale. La surcharge pondérale localisée au niveau du ventre se révèle en mesurant le tour de taille : s’il est supérieur à 102 cm, le diagnostic s’impose ! Le « gros ventre » touche un homme sur deux En revanche, la correction de l’alimentation et la mise en place d’une activité physique exercent rapidement un impact favorable sur les autres composants du syndrome. Une alimentation déséquilibrée ou excessive génère des toxines qui vont se loger dans les systèmes musculaires et articulaires et engendrer douleurs et dégénérescence osseuse. Le manque d’activité physique agit sur la fonte musculaire, sur la souplesse, sur la silhouette, et freine l’élimination des toxines. Le stress Le stress est l’ensemble des réponses d’un organisme soumis à des pressions ou des contraintes de la part de son environnement. Les sources du stress sont multiples : – individuelles, comme la maladie ou le handicap, – familiales : couple, enfants, parents, – professionnelles : relations hiérarchiques, insécurité de l’emploi, précarité de l’emploi, – sociales : conditions de vie, niveau socio-économique, ethnie. Les réponses au stress sont d’ordre physiologique (mal de dos, troubles cutanés, troubles digestifs, hypertension artérielle) ou/et d’ordre psychologique (mal-être, déprime, dépression, burn out). L’adaptation au stress varie selon chaque individu et peut fluctuer selon trois stades : – la réaction d’alarme qui est la période où toutes les défenses sont mobilisées, – le stade de résistance où l’individu s’adapte à l’agent stressant, – le stade d’épuisement si l’agent stressant est puissant et dure dans le temps. LA SOLUTION : UN SÉJOUR EN THALASSOTHÉRAPIE Une véritable sensibilisation à la reprise en main du corps et du mental se fait grâce à l’association de la force des soins en eau de mer avec les conseils en hygiène alimentaire, en activité sportive, en gestion du stress et en apparence. L’hydrothérapie marine Ossature capitale dans ce programme, la gamme des soins dispensés en eau de mer chauffée va largement participer à la prise de conscience corporelle et à l’amélioration du mouvement et de la silhouette en mixant soins tonifiants (bain hydro-massant), soins drainants (douche à jets tonique) et soins relaxants (massages). Les différents jets utilisés dans des positions variées du corps vont masser, mobiliser les tissus détendre et drainer Les séances de cryothérapie Cette thérapie déclenche un choc thermique responsable de la libération d’hormones (endorphine, mélatonine, sérotonine) et de médiateurs chimiques ayant un rôle sur la douleur et sur l’inflammation. C’est le soin idéal d’accompagnement dans le renforcement musculaire, la récupération physique après l’effort. L’encadrement des activités physiques Les coachs sportifs réalisent un bilan pour définir la zone d’endurance le premier jour. Puis, ils accompagnent l’installation de la mise en place de l’apprentissage, du changement des habitudes, du développement de la volonté ; un projet d’objectifs à atteindre est dessiné. La marche à pied étant l’exercice d’endurance le plus accessible, des séances de marche dynamique en bord de mer, associées à la respirologie, selon la méthode d’Edouard Stacke, viennent compléter l’efficacité des soins. Les coachs sportifs réalisent un bilan pour définir la zone d’endurance le premier jour Le rôle de la diététicienne La diététicienne réalise un bilan d’impédancemétrie personnalisé qui détermine les masses grasses, les masses grasses viscérales, les masses maigres et le pourcentage d’eau contenus dans le corps ; elle renseigne sur l’importance du métabolisme de base. Elle accompagne le client pendant le séjour, le conseille et l’encourage. L’adaptation d’un « régime alimentaire » a pour objectif de viser une perte de poids bien évidemment, mais sur une durée, et avec une progression ainsi qu’une obligation d’adjoindre une activité physique régulière. La perte de poids se fait surtout au détriment de la graisse viscérale, celle-ci étant plus facilement mobilisable. Une diminution de 10 % du poids corporel permet de réduire de 30 % la graisse viscérale. Le régime recommandé porte sur la limitation des apports en graisses saturées en acides gras et en cholestérol, et sur la réduction des sucres simples. Les fruits, les légumes et les céréales complètes prennent toute leur importance. Des soins complémentaires sont recommandés. La relaxation Une séance de relaxation « lâcher-prise » aide à dénouer les tensions accumulées dans le corps ; ces blocages sont souvent inconscients mais perturbent le bon fonctionnement physiologique des organes ainsi que l’équilibre psychologique. Grâce à des exercices respiratoires effectués sous contrôle, le stress s’efface, les émotions se libèrent. Une séance de voyage « multi-sensoriel », issue du principe Snoezelen, permet aux cinq sens d’être stimulés dans un environnement approprié pour se concentrer sur son « moi intérieur » et se détendre profondément. Cette séance peut être combinée avec de la Musicothérapie par Sound Care. Prendre soin de soi Le bien-être du corps passe par le bien-être de la peau qui est un véritable organe dont on doit prendre soin : – Un gommage en début de séjour permet grâce à une exfoliation tonique de redonner douceur et hydratation. – Le soin du visage « Source de Jeunesse » redonne tonus et vitalité ; le concentré d’actifs marins répare les peaux matures et apporte un effet lissant immédiat. Ce programme a retenu toute l’attention du Dr Denolle, Cardiologue et Responsable du Centre de Rééducation Cardiaque à l’Hôpital de Dinard.
